mardi 1 décembre 2015

Top novembre 2015

Plus qu'un mois avant le grand bilan 2015!
En attendant, voici les must read du mois de novembre, et une photo du plus somptueux calendrier de l'Avent de tous les temps.



*_* (isn't it lovely, isn't it wonderful??)


5. Pirates, Fabrice Loi




De l'aventure, du glamour, du badboy, du complot géopolitique, tout est dans le roman de Fabrice Loi. A l'abordage!!!


4. D'après une histoire vraie, Delphine de Vigan



Il y avait longtemps qu'un auteur ne m'avait pas fait questionner mon équilibre psychologique... Dans le dernier roman de Delphine de Vigan, on ne sait jamais vraiment ce qui se cache derrière les apparences, et ce jusqu'au mot "Fin"*.


3. Profession du père, Sorj Chalandon




Plongée dans l'enfance chaotique d'Emile Choulans, auprès d'un père roi de l'affabulation qui n'hésite pas à entraîner son fils dans des histoires loufoques, sans mesurer l'impact immense de son emprise sur le jeune garçon, lequel ne quémande rien tant que l'affection de cet homme qu'il ne connaîtra jamais vraiment. 


2. Ce pays qui te ressemble, Tobie Nathan




Voyage dans un pays aux milles visages, à la culture envoûtante et aux croyances obscures : l'Egypte. Dans ce roman multiple, Tobie Nathan nous livre une fresque passionnante et bigarrée, où l'Histoire d'une nation se mêle aux destins individuels de personnages impétueux.


1. Les faibles et les forts, Judith Perrignon



Mon coup de cœur en novembre a été le roman de Judith Perrignon, Les faibles et les forts, qui m'a profondément marquée, de par l'interprétation historique et puissante de ce qui aurait pu n'être qu'un fait divers parmi d'autres. Un choc. 


Et pour finir sur une touche de nuance (ça me connaît, la nuance), les deux déceptions du mois :

Les désœuvrés, Aram Kebabdjian



Un roman fleuve à l'écriture sophistiquée, qui n'a malheureusement pas suffi à générer le moindre intérêt à l'égard de l'intrigue. Les personnages fades et suffisants ont eu raison de ma patience.

La centrale en chaleur, Genichiro Takahashi


Ici, pas de problème de fadeur, bien au contraire... Mais le dernier roman de Takahashi est, je dois l'avouer, sans doute un peu trop "libre" pour moi, et je parle avant tout de l'affranchissement dont l'auteur fait preuve eu égard à toutes formes de règles littéraires. Il m'a perdue...

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